"Le Trèfle Noir" a été une surprise agréable, où l'auteur a parlé d'un amour unique et monogame, quelque chose de très rare de trouver de nos jours, même dans les histoires. Je ai joyeusement lu et apprécié pleinement cette histoire.
Une très belle histoire, où l'on doit attendre jusqu'au chapitre 10 avant que Nadim et Amin découvrient d'être amoureux ! Mais tous les chapitres précédents construisent la naissance et la croissance de cet amour, presque à l'insu des deux protagonistes. Ce récit est si beau que ça m'a ému aux larmes, mais des larmes de bonheur.
Oh, que je ai identifié dans les deux amants ! L'auteur a bien représenté le concept de l'amour, il a probablement été facilitée par le monde arabe, en ce sens que dans les récits des pays du Moyen-Orient où tout est très noble et juste et vu à travers les yeux d'Allah qui ne se trompe jamais : le tout est un résultat vraiment harmonieux. M. Koymasky a passé quelque temps dans le Moyen-Orient, comme il l'a fait au Japon? Mais alors, aussi dans la Grèce antique ?? ou dans l'Empire Inca ??? Sa culture semble être vraiment sans fin ...
Ce récit est une grande aventure dans l'histoire et dans l'amour que les hommes peuve partager. Je trouve cette histoire merveilleuse, excitante et remplie d'intrigues. J'ai particulièrement apprécié l'introduction du garçon blond dans la deuxième partie. Je sais de l'histoire, qu'ils ont été particulièrement recherchées par les princes du désert.