L’or, l’encens et la myrrhe c’est l’histoire de Massimo et de quatre rencontres qu’il va faire en l’espace de six jours qui vont bouleverser sa vie mais surtout la perception qu’il en a.
Une fois de plus il est difficile de faire une chronique sans spolier et je pense qu’il est mieux de vous laisser le soin de découvrir par vous-mêmes l’histoire de Massimo, sachez seulement qu’à travers ce livre, l’auteur ne raconte pas une simple romance mais nous offre aussi une belle leçon de vie. Une leçon qui nous rappelle que le jour succède toujours à la nuit la plus sombre et que même si l’avenir nous semble sans espoir, on ne sait jamais de quoi demain sera fait.
Et c’est comme à son habitude à la manière d’un conte qu’Andrej Koymasky nous livre ce message d’espoir. C’est toujours un peu naïf dans la romance (trop de miel pour moi) et ce n’est pas la partie du livre que j’ai préféré, mais quand Massimo fait ses rencontres, le ton change un peu et se fait plus grave - tout en restant toujours doux et empreint de poésie, j'a vraiment apprécié ma lecture.
Alors même si je n’ai pas eu de papillons dans le ventre et que mon rythme cardiaque ne s’est pas emballé, cet auteur à la particularité de me laisser avec le sourire aux lèvres et un moral regonflé à bloc.
Vous l’aurez donc compris, c’est un livre qui vous fera du bien.
J’ai aimé :- la morale de l’histoire
- le récit façon conte
- le milieu du livre
J’ai moins aimé :- la partie romance un peu trop mielleuse à mon goût
MA NOTE: Genre: romance, conte
Service presse: les Textes Gais