Quand j’ai commencé Devenir Poussière de J.S Cook, je m’attendais à un romantic supense.
S’il y a bien une enquête, de la romance, il n’y en a pas. Et je l’ai attendue, cette histoire d’amour. D’ailleurs, j’ai été déstabilisée de ne pas la trouver.
En ce qui concerne le côté policier du roman, je l’ai trouvé intéressant sans plus. L’enquête connaît des moments de surprises et a su éveiller mon intérêt, pourtant j’ai parfois été perdue. Le livre contient beaucoup de personnages, tellement que je les confondais entre eux. Et j’ai eu vraiment l'impression qu’il me manquait une partie de l’intrigue pour comprendre les relations qu’entretiennent les personnages entre eux. Et même, si j’ai essayé de me laisser porter par l’histoire, je n’ai pas réussi à rentrer dedans.
Raft, le personnage principal est néanmoins attachant, il souffre de la séparation forcée avec son amant. C’est un homme intelligent, qui mène ses enquêtes à l’instinct. On devine qu’il a eu passé difficile, mais on ignore exactement en quoi. On obtient seulement des bribes d’informations.
Le roman a aussi un petit côté fantastique, car Raft voit des fantômes, mais quelle est la finalité de cette capacité ? À quoi cela lui sert-il ? L’auteur ne donne aucune explication.
Vous l’aurez compris, je n’ai pas du tout accroché à cette histoire, la romance est absente, l’enquête m’a perdue, je n’ai pas compris les relations entre les personnages. Et le côté fantastique a été mal exploité. Il semblerait que ce roman soit le tome trois d’une série, le fait est que j’aurais peut-être aimé si j’avais pu lire les deux tomes précédents, j’aurais pu m’attacher aux personnages, les comprendre et être attristée pour Raft du départ de Freddy.
Par contre, si vous ne cherchez pas de romance, et seulement des personnages gays, peut-être que ce roman pourrait vous plaire.
J’ai préféré :— L’enquête a quelques rebondissements.
— Bonne correction.
J’ai moins aimé :— L’absence de romance
— J’ai été perdue comme s’il me manquait une partie de l’histoire.
— Le côté fantastique mal exploité
Ma note : Service presse :Dreamspinner Press.
Chronique by : L