Moments "MIAM !!!"

Et je ne pouvais détacher mes yeux de lui.
Un mouvement attira mon attention sur nos mains et je pensai qu’il me libérait, mais au lieu de cela, il tourna sa main, saisissant la mienne comme il l’aurait fait si nous avions échangé un bras de fer, et me tira vers lui.
Il me prit par surprise et me déséquilibra. Je trébuchai en avant, lui en arrière, et en une fraction de seconde il fut adossé contre l’autre voiture, nos mains toujours jointes entre nos poitrines, mon autre main en appui contre la voiture, à côté de sa tête. Nos hanches n’étaient séparées que par un espace infime, mais son genou touchait juste à peine l’intérieur du mien.

Aucun de nous ne respira. Ni ne bougea. Le seul bruit que l’on entendit fut le craquement étouffé de sa veste quand il poussa finalement un soupir. Je déglutis nerveusement, et il fit de même. Quelle que soit la tension qui s’était développée entre nous dans le club, elle n’était rien comparée à l’électricité qui craquait maintenant dans l’air.

— Désolé, murmura-t-il. Je ne voulais pas te faire perdre l’équilibre.

— C’est bon, fis-je en m’arrêtant et fronçant les sourcils. Que voulais-tu faire au juste ?

Il rit, ses joues s’assombrissant légèrement.

— Seulement satisfaire une petite curiosité, dit-il en rencontrant mon regard avec une expression timide, Je haussai les sourcils.

— À quel propos ?

— Je me demandai ce que tu ferais.

Il soutint mon regard, mais je sentais qu’il était nerveux. Beaucoup plus nerveux qu’il ne l’avait été durant notre partie de billard. Probablement plus nerveux que quelqu’un comme Brandon avait l’habitude de l’être. Il se lécha les lèvres, ce geste simple et subtil faisant tressauter mon sexe.

Seigneur, Brandon, qu’es-tu en train de me faire ?

— Est-ce là ce que tu espérais ?

— Je ne savais pas à quoi m’attendre. Je ne le sais toujours pas.

Ses doigts se déplacèrent légèrement contre les miens, comme si sa main voulait trembler, mais ne pouvait pas à cause de ma poigne. Prenant une inspiration, il murmura :

— À ton tour.

Mon cœur battait la chamade. Quelque chose dans mon esprit me dit que c’était mon signal pour battre en retraite, pour briser la maladresse de l’instant et retrouver une distance de sécurité, disons plus confortable entre deux – je pensais – hommes hétérosexuels. Mais je ne bougeai pas. Je ne savais pas quoi faire.

Il prit sa lèvre inférieure dans sa bouche pendant une seconde, la léchant rapidement. J’eus soudain envie de goûter cette bouche, pour savoir ce que cela faisait d’avoir sa langue contre la mienne. Évitant ses yeux et reculant seulement légèrement, j’ouvris la bouche pour parler, mais ensuite hésitai. Mes joues brûlaient.

— Je suis dos au mur, murmura-t-il d’une voix mal assurée. Tout ce que tu as à faire est de reculer. Laisser tomber et reculer.

Déglutissant péniblement, je le regardai dans les yeux.

— Tu ne veux pas que je recule, cependant, n’est-ce pas ?

Il secoua la tête.

— Que veux-tu que je fasse ? dis-je en chuchotant à peine.

— Je veux…

Il hésita.

— Je veux que tu fasses ce qui te semble juste.

Je me penchai vers lui, inspirant doucement pour saisir son parfum masculin et musqué. La chair de poule picota ma peau et mes genoux menacèrent de me lâcher alors que j’approchai mes hanches plus près des siennes. Nous haletâmes tous les deux quand mon érection effleura la sienne. Je tremblais maintenant, submergé par lui, par ce moment.
Nos visages étaient assez proches pour que je puisse sentir la chaleur qui émanait de lui Quand il expira, son souffle était chaud sur ma peau, et c’était tout ce que je pouvais faire pour rester debout.

— À ton tour, fut finalement ce que je réussis à dire.

— Dis-moi ce que tu veux.

La vibration de sa voix résonnait dans l’espace minuscule entre ses lèvres et les miennes.

— Tu sais ce que je veux.

— Tu as raison, je le sais.

Ses lèvres touchèrent les miennes, et je ne pus supporter la distance davantage : je l’embrassai, juste mes lèvres entrouvertes contre les siennes. Nous restâmes immobiles un moment, inspirant simplement le souffle de l’autre. Quand il inclina légèrement la tête, son menton effleura le mien et la texture rugueuse du léger chaume sur sa mâchoire souligna davantage la douceur de ses lèvres.

Sa langue sépara mes lèvres. Alors que le baiser s’approfondissait, je déplaçai mon poids, me laissant couler contre son corps et détachant le bras qui me soutenait de la voiture pour le glisser autour de sa taille, gémissant doucement contre sa bouche comme il pressait ses hanches contre les miennes. Chacun de nous explora la bouche de l’autre et je me laissai me perdre dans ses bras, en lui.

J’enregistrai à peine dans ma conscience le craquement de son blouson quand il leva le bras. Sa main alla se placer sur le côté de mon cou où elle s’arrêta un instant avant de dériver plus haut, dans mes cheveux, ses ongles me massant le cuir chevelu. Le frisson qui en résulta me fit haleter, et je rompis le baiser le temps d’un battement de cœur, mais c’était trop long pour rester éloigné de la chaleur de sa bouche, et mes lèvres retournèrent désespérément et passionnément sur les siennes.

Son baiser était aussi doux que celui de n’importe quelle femme, peut-être davantage. Pour une raison quelconque, cela me surprit. Je ne sais pas ce que j’avais attendu – si j’en attendais quelque chose – du baiser d’un homme, mais le contact doux et sensuel de ses lèvres et le goût sucré de sa langue étaient plus excitants que tout ce que j’avais jamais connu.

Il passa tendrement ses doigts dans mes cheveux, descendant ensuite le long de mon visage. Je fis de même, explorant la douceur fraîche de ses cheveux et la rugosité de sa mâchoire. Je rompis le baiser et reposai mon front contre le sien, tenant son visage dans mes deux mains. Ses pouces caressaient les côtés de ma mâchoire alors que nous nous tenions là, dans un silence essoufflé, sans aucun son entre nous à l’exception de sa veste craquant à chaque inspiration irrégulière qu’il prenait.

Mes mains tremblaient. Les siennes aussi. Aucun de nous ne parvenait à reprendre son souffle. J’étais tellement dur que cela me faisait mal, et à en juger par la façon dont il gémit doucement quand je pressai mon sexe contre le sien, il l’était aussi. Jamais de ma vie je n’avais été aussi excité, même si tout ce que j’avais fait avait été de l’embrasser.

Et j’avais besoin de le faire encore.

Je le tirai vers moi et l’embrassai, utilisant le bout de ma langue pour attirer la sienne dans ma bouche. Le goût sucré de sa bouche et son parfum masculin me faisaient tourner la tête. Je n’étais pas rassasié de lui. Saisissant ses cheveux en douceur, je tirai sa tête en arrière et plongeai la mienne vers lui, embrassant son cou de la même façon que je l’avais fait avec les femmes par le passé. Un faible gémissement vibra contre ma langue, et il enfonça ses doigts dans mes épaules. Traçant un chemin de baisers le long de son cou, je trouvai le point sensible juste en dessous de son oreille et appuyai ma langue contre sa peau. Il se rapprocha encore et pressa ses hanches contre les miennes alors que j’aspirai le lobe de son oreille dans ma bouche. Puis j’embrassai à nouveau son cou pour me diriger vers le devant de sa gorge.

— Embrasse-moi, dit-il.

Sa voix était à peine plus qu’un grondement sourd que je ressentis plus que je ne l’entendis.

— Je le ferai.

Mes lèvres ne quittèrent pas sa peau. J’embrassai son cou, encore, faisant courir mes doigts sur le côté opposé.

— Merde, embrasse-moi, murmura-t-il.

Je souris contre sa peau et m’arrêtai pour tracer un léger cercle avec le bout de ma langue.

— Embrasse-moi. Je veux que tu m’embrasses.

La dose de besoin dans le mot ‘veux’ me fit presque chanceler, mais avant que je puisse faire ce dont il me priait, ses doigts se crispèrent dans mes cheveux et il me tira la tête en arrière. Il m’embrassa, dévorant ma bouche avec une sorte de faim que je n’avais jamais connue auparavant. Je le plaquai contre la voiture, ayant besoin de me trouver aussi près de son corps que possible. J’étais étourdi, dépassé, complètement perdu en lui. Je ne savais pas ce que je voulais faire, ce que je voulais qu’il fasse. Je n’étais pas capable de comprendre quoi que ce soit, sauf mon besoin de le toucher et de le goûter.

Au bout d’un moment, il rompit le baiser et me regarda, touchant mon visage. Puis il baissa les yeux pour murmurer un : Putain.

Il grimpe les marches quatre à quatre. Ses doigts crispés sur les siens. Si fort. Que leurs phalanges. En sont douloureuses. Il ne pense même pas. Qu’il n’a jamais emmené personne. Chez lui. A l’appart. Il le veut. Tout de suite. Maintenant. Il est si empressé. Qu’il en fait tomber ses clés. Se penche pour les ramasser. Sans le lâcher. Il éclate de rire. Le corps tremblant. D’excitation. Ouvre la porte. Et le pousse. A l’intérieur. Pour le culbuter. Sur le canapé. Kévin se met à rire aussi. Et son désir. Monte en flèche. « Putain… j’ai envie de toi… c’est dingue… » Il l’entend. Murmurer. Un « moi aussi » troublé. Fait sauter les boutons. De sa chemise. Se jette sur le torse dénudé. Qu’il mord. Qu’il lèche. Dans un désir effréné. Encouragé par les gémissements. Qu’il l’entend déjà pousser. « Kévin… Kévin… Kévin… » Il descend la fermeture. Dans un geste sec. Le traîne avec son pantalon. A même le sol. Il arrache les chaussures. Les chaussettes. Qu’il balance. Derrière lui. Dégage ce sexe. Qui n’attend que sa bouche. Et le mange. Sans plus attendre. Pressant avec force ses lèvres. Agitant sa langue. Kévin s’arque. Creuse ses reins. Crie. S’époumone. Et lui s’agrippe aux hanches. Empoigne les fesses. Il ne se souvient pas. Avoir déjà désiré comme ça. A en devenir fou. Il le regarde se tordre. Plante ses yeux. Dans les siens. La langue sur sa queue. Ses yeux verts pétillants. Regard provoquant. Brûlé par le bleu. Il promène sa langue. Ses mains. Sur son corps. Ses cuisses. Ses fesses. Sa raie. Lèche ce bouton offert. Y enfonce son pouce. Caresse. Pince. Griffe. Triture. Kévin l’appelle. Le supplie déjà. Il arrache pantalon et boxer. Qui entravent les chevilles. En quelques secondes. Il est nu comme un ver. Il s’allonge sur son corps. Plonge dans sa bouche. Son sexe excité. Raide. Contre le sien. Ses mains. Attachées aux siennes. Il se frotte. Pousse des grognements. De bête enragée. « Kévin… Kévin… Kévin… » Et d’un seul coup. Se plante entre ses cuisses. Qu’il relève sur ses épaules. Pour entrer en lui. Profondément. Dans un cri. Un cri de soulagement. Un cri puissant. Et tête en arrière. Il le heurte. Le défonce. Dans de grands coups de butoir. Déchaînement des corps. Qui se cherchent. Se trouvent. Se tordent. Galvanisé par leurs hurlements. Il se redresse. Le soulevant avec lui. Il percute son bleu. Y projette son vert. Pour l’explosion totale. Magistrale. Qui les éblouit. Les raidit. L’un dans l’autre. Les mains crispées sur leur peau. La tête vrillée par la jouissance. Le corps éperdu de plaisir. Il s’abat brutalement sur lui. L’enveloppe. De ses bras. De ses épaules. Avant de sentir. Ses bras à lui. Se refermer. L’emprisonner. Et il décolle. Ailleurs. Il est parti. Plus rien. N’existe d’autre. Que ce corps. Cette odeur. Cette sensation. Qui le possède. L’envahit. L’étourdit.

OH PITIÉ !!! Où sont les références???

Traduction très maison faite par moi-même d'un extrait de The slave de Kate Aaron. C'est chaud ce moment et en même temps beau.



Je me suis étendu moi même en travers du lit, tâtonnant à la recherche du nœud retenant mon pagne. Je laisse le matériel tomber, arquant mon derrière, écartant les genoux pour inviter notre maître au spectacle, suçant et léchant Kai.

Il ne va pas durer longtemps. Les sons qu'il fait augmentant en urgence, émettant  un haut gémissement  que j'ai appris à reconnaitre comme celui annonçant sa jouissance. Je me retire donc sur une dernière profonde succion, pressant son érection à la base jusqu'à ce que je sois certain qu'il n'est plus en danger de jouir tout de suite. Nous en sommes à un point ou nous n'avons pas encore explorer plus loin dans notre intimité et pour un bref moment, je me demande si je ne devrais pas garder notre première fois privée, finir Kai rapidement et le laisser me baiser une autre nuit, quand nous n'aurons pas une audience qui regarde chacun de nos mouvements.

Puis j'écarte cette pensée aussitôt qu'elle me vient. Non seulement parce que notre maître sera surement fâché d'être écarter de ce spectacle mais parce que je ne veux pas le tromper. Je veux Kai à l'intérieur de moi et je veux que notre maître regarde cela arriver.

Me relevant, je pousse Kai sur le dos, souriant quand ses yeux s'agrandisse d'incrédulités. Prenant la bouteille d'huile dans la table de chevet assis pardessus ses cuisses, j'enduis sa longueur avec un adroit mouvement du poignet. M'abaissant  pour l'embrasser, mes bras de chaque côté de nos visages, bloquant la vue au reste de la chambre alors que nous partageons ce tendre moment. Ses yeux me posent mille questions mais mon regard calme éloigne toutes ses peurs. Je comprend qu'il soit nerveux, puisque c'est sa première fois -du moins avec un homme- et je sais que même si notre maitre est présent dans la chambre c'est mon consentement qui doit toujours être au devant de ses pensés. J'aime me préoccuper de lui et que j'ai ou non le choix dans les choses que je fais, je veux tout cela, pour une fois, la demande vient entièrement de moi.

J'atteins l'arrière de mes jambes ouvertes pour m'enduire d'huile moi-même, insérant un doigt, puis deux, la chaleur augmentant dans mon ventre répondant au grognement profond  qui se réverbère autour de la chambre et provenant de derrière moi. Si j'étais concerné par la réaction de notre maitre nous regardant, je crois que ces grognements viennent de chasser tout mes doutes.

L'érection de Kai raide, épaisse et dure entre mes fesses, je me replace moi-même au-dessus de son abdomen. Me frottant contre lui, laissant sa longueur se mouvoir entre mes fesses, profitant tous les deux de la sensation. La tête de son pénis frottant encore et encore contre mon entrée, laissant mes nerfs à fleur de peau. Le prenant dans ma main derrière moi, je le presse contre mon entrée jusqu'à ce que son prépuce soit presque au point de pénétration.
Il reste calme, ses bras et ses jambes collés au matelas, écartés en travers du lit, son regard fixé sur mon visage, sa poitrine se soulevant à chaque respiration. Sa cage thoracique semblant être trop large pour son corps, la peau se tendant fortement et les tendons de son ventre s'étirant en lignes au dessus de son nombril.

Je m'enfonce sur son érection, lentement, respirant profondément, laissant mon corps s'habituer à lui. Je siffle lorsque mes muscles s'étire atour de sa circonférence et tire frénétiquement sur mon érection encore molle, voulant lui démontrer des preuves de mon désir et diminuer l'alarme que je vois sur son visage. Je relâche ma respiration en de courts et haletants bruits, prenant un pause alors que son prépuce en est au milieu, laissant à mon corps le temps de s'y faire.

Dans ma tête je sais très bien qu'il n'est pas si épais que je ne peux pas le prendre, dans le passé notre maitre à déjà mis ses doigts à l'intérieur de moi pendant qu'il me faisait l'amour mais chaque millimètre me semble un mile.

Puis je sens les mains de notre maître sur mes épaules tremblantes, je relâche un sanglot sifflant alors qu'il embrasse l'arrière de ma tête. Son touché me calme instantanément, me rassurant par sa présence. S'agenouillant derrière moi, il met ses bras autour de ma poitrine pour supporter mon poids et je me laisse relaxer contre lui. Il me soulève doucement, me laissant continuer à prendre Kai en moi à mon rythme, murmurant des mots apaisant et encourageant à mon oreille. Kai caresse mon estomac,  impressionné, puis soudainement son érection se retrouve en moi complètement mes muscles prenant prise autour de son membre.
Kai et moi émettant un cri à l'unisson, mes cuisses tremblantes alors que je me laisse un temps de repos mon entrée pulsant avec force autour de son érection. Notre maitre me soutenant de façon encore plus sécuritaire, ses bras collés sous les miens, sa poigne ferme autour de moi.

''Respire Tammy'' Il murmure laissant de petits baisers le long de mon coup et de mon épaule.

Je laisse aller ma respiration et accepte le sentiment de plénitude, l'épaisseur drôlement supérieur de Kai me laissant sur le rasoir mince entre le plaisir et la douleur, un plaisir intense, je prend une note mentale de me préparer moi-même mieux la prochaine fois que je voudrais le prendre.

Notre maitre pince mes tétons envoyant un zest de plaisir courir dans mon bas ventre faisant  remonter mon érection. Il tend une main pour  l'huile et Kai retrouvant la bouteille sur le lit à l'endroit ou je lai laissé tombé, y place une bonne quantité de liquide dans sa paume. Ma respiration devient haletante lorsque qu'il touche de sa main l'endroit ou Kai entre dans mon corps, étalant l'huile entre nous, prenant soin de bien lubrifier autour de mon trou.

Kai mort ses lèvres, un grognement sortant de sa poitrine alors que les jointures du maitre frotte contre le derrière de mes cuisses huilant le membre de Kai. C'est la première fois que Kai permet à notre maitre de le toucher et je ne n'oubli pas l'importance du moment  mais Kai est en ce moment dans une position ou il ne peut faire autre chose que d'accepter ce contact.

Satisfait de nous voir bien enduit, il tourne son attention vers mon membre, glissant ses doigts enduits d'huile autour de ma longueur tournant au-dessus du bout. Je me baisse, un peu plus le long du membre de Kai qui laisse échapper des gémissements sous moi, agrippant les couvertures du lit jusqu'à ce que ses jointures soient blanches, les veines saillants de ses bras.
J'aimerais dire que nous avons baisé pendant des heures, notre maitre me tenant et moi me berçant sur Kai comme un champion, mais la situation étant trop intense pour qu'aucun de nous ne puisse durer très longtemps. J'ai à peine commencé à bouger que Kai gémit et envois sa semence en coup court et rapide sa jouissance prenant tout son corps. Je le retiens pendant qu'il se vide à l'intérieur de moi mes yeux agrandis par le plaisir, son corps se tend, une larme glissant sur sa joue s'échappant de ses paupières par l'intensité du moment.

Aussitôt après la jouissance de Kai, je redeviens conscient de notre maitre qui se frotte contre moi, il déplace mes cheveux et mord mon épaule au moment ou il vient, chaud et humide contre ma hanche. Sa semence roulant le long de mes jambes en coulisses épaisse qui se refroidissent rapidement pendant que le membre de Kai redevenu assez mou se retire de moi.
Je ne suis pas venu et je ne suis même plus dur mais en sandwiche entre les deux hommes que j'aime, je me sens rassasié et contenté autant qu'eux.

Je me suis relue ce matin (pas vraiment eu le temps hier soir) et j'ai vue des erreurs de traduction (une vraiment drôle lolll je devais être fatiguée pour avoir écrit ça) des erreurs de grammaire et de compo, je ne fais pas une très bonne traductrice mais comme c'était juste pour partager un moment que j'ai aimé, on va dire que ça fait l'affaire

IL est wouahhhh     celui-là
chaud chaud, j'aime beaucoup !
ça me fait pleurer de ne pas pouvoir lire en anglais

merci pour la traduction, elle est vraiment super !

Oh ! Je découvre ce post. Superbe mais hyper frustrant. D'où sort tous vos extraits ???

C'est vrai qu'il faut pas oublier de mettre le titre et le lien du fofo

Mixjux a écrit:

C'est vrai qu'il faut pas oublier de mettre le titre et le lien du fofo

Et donc, l'extrait que tu as posté en juin vient de... ?

euh... règles d'engagement je crois ^^