Quand j’ai commencé ce roman, je ne m’attendais absolument pas à ce genre d’histoire, surtout que le titre et la couverture font plus penser à un récit D/s … Dans ce roman, il n’est nullement question de celà, et le titre prend tout son sens pendant la lecture.
“Propriété d’un millionnaire”, c’est l’histoire d’une rencontre entre deux hommes ayant une grande différence d'âge (environ une vingtaine d’années), écart qui ne sera aucunement un frein à leur rapprochement… Une rencontre saisissante entre deux êtres différents qui vont aux fils des pages, apprendre à se connaître, s’épanouir, se compléter, et s’aimer.
Jp Sayle nous offre un très beau slowburn, le récit d’une relation qui s'épanouit dans la douceur, la tendresse, l’acceptation…
J’ai beaucoup aimé Griffin et Charlie, l’alchimie entre eux est inéluctable. Même si Charlie est vraiment adorable (et que j’ai kiffé quand il porte de la lingerie fine miam miam), ma préférence va à Griffin
.
Si le prologue donne le ton, j’ai beaucoup apprécié découvrir l’histoire de ce dernier aux fils des chapitres … voir son cheminement interne en même temps que la naissance des sentiments qu’il ressent pour la première fois… C’est un récit tout doux même s'il est parsemé d’instants plus sombres.
Griffin ne sait pas exprimer ce qu’il ressent pour Charlie par les mots, tout est dans ses actions, et c’est tellement plus fort niveau ressenti … La scène avec le dentier a eu raison de moi, mon petit cœur n’a pu retenir son emballement
La petite pépite de cette histoire c’est Nanna (et son chat :p ), la grand-mère de Charlie. Cette petite bonne femme est hillarante, pétillante et c’est une sacrée entremetteuse !
Juste un petit bémol : il aurait été judicieux de changer de police d’écriture quand il s’agit de leurs réflexions internes. Dans l’état actuel, j’avoue avoir parfois été perdue, et de ce fait cela a gâché quelque peu, la fluidité du récit et mon plaisir pendant ma lecture.
J’ai hâte de lire le tome 2 et de découvrir l’histoire de Brent et Guy… Pour sûr, notre Nanna ne va pas les épargner de son talent d’entremetteuse.
Hier à 10:52 par 
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