Macaria T1 : L'or de la liberté - Kerberos

Il a l'air pas mal.  A voir.  

oui moi j'aime les métamorphes !

J’ai eu l’occasion de lire ce livre alors qu’il était en préparation, et je dois dire que j’ai accroché tout de suite. L’auteur nous emmène dans le monde de Jonas Torres, un humain, militaire, fière de son pays et de son armée. Nous allons découvrir le monde des Arès, des hybrides, mi-hommes, mi-animaux, qui essaient de survivre alors que des mercenaires humains veulent leur disparition.
Mais ce qui fait l’originalité de ce livre, c’est la manière d’écrire de l’auteur. Il n’y a pas de temps mort, déjà, et ces expressions québécoises sont absolument fabuleuses. Tout de suite, j’ai été prise dans l’histoire et dans la romance entre Jonas et Gabin, qui vont s’affronter, se comprendre et surtout s’aimer. Les scènes sensuelles entre nos deux hommes sont très chaudes, mais jamais vulgaires.
Un très bon premier roman, et j’ai hâte de découvrir la suite.

Bon !!! lu et dévoré
Les expressions canadiennes sont au départ déconcertantes mais rajoute au charme du récit et dépayse .
C est bourré d humour et de tendresse .
Vivement la suite ..
L auteur nous a promis avant un an
en tout cas bravo pour un premier roman et souhaitons a l auteur de garder son coté loufoque c est très agréable

merci pour les critiques ! ça donne envie, alors que je trouvais le résumé un peu compliqué...

L’or de la liberté est premier tome de la série Macaria de Kerberos.

Je ne vais pas mentir, je n’ai pas réussi à rentrer dans le livre ni à m’attacher aux personnages.

Pourtant l’histoire est bien construite. Un militaire, Jonas Torres, rentre dans une organisation militaire secrète d’hybrides (Arès), il découvre l’amour avec Gabin Demers un métamorphe au passé difficile. Les ingrédients qui font un bon bouquin sont présents comme l’action, l’amour et avec en prime des jurons Québécois. Les dialogues semblent naturels, ce qui est un bon point.

Cependant, et puisque l’auteur explique qu’elle accepte les critiques constructives. C’est que je vais essayer de faire. Mon principal souci a été que je n’ai pas adhéré au style pour différentes raisons.

En fait, le style est prometteur, seulement j’ai bien senti que c’était un premier roman. Pour moi si l’auteur souhaite améliorer ses écrits et permettre à des lecteurs difficiles comme moi d’aimer la lire, il y aurait plusieurs points à retravailler. Il y a beaucoup trop de phrases qui contiennent le participe présent. Les adverbes en -ment sont aussi trop présents. Les descriptions ne sont pas intégrées à la narration. Les périphrases pour parler des personnages m’ont perdue, j’avais du mal à savoir de qui voulait parler l’auteur. J’avoue que j’ai eu du mal avec deux scènes érotiques en particulier. L’auteur a pris un risque et je n’ai pas adhéré.

Voilà les différentes raisons pour lesquelles, je n’ai pas pu apprécier ma lecture.

L’auteur ne doit pas se décourager, les points cités ne sont pas difficiles à corriger, cependant même si je n’aime pas écrire des chroniques comme celle-ci, je suis obligée d’être sincère.

J’ai préféré :
— L’histoire est intéressante.
— Quelques coquilles qui ne gênent pas la lecture.

J’ai moins aimé :
— Le style n’est pas encore abouti.


Ma note :  

Bonjour,

Une histoire sympathique, des personnages attachants, de l’humour, une intrigue…

Le lieutenant Jonas Torres, pendant un congé forcé et des circonstances insolites, fait la rencontre de l’équipe MACARIA et surtout de l’un de leur agent Gabin Demers. Jonas est un homme solitaire mais sociable avec un humour décapant. Il est très vite rejoint au sein de l’Agence des hybrides par les trois hommes sous son commandement.

Gabin est un chacal garou noir, c’est aussi l’élément le plus puissant de l’équipe des hybrides. C’est un jeune homme sauvage, solitaire, froid au très mauvais caractère. Il a un passé extrêmement difficile et suite à celui-ci, il déteste les humains.

Ainsi, Jonas et son équipe sont « prêtés » par l’armée canadienne à l’Agence d’Arès afin de mettre hors d’état de nuire l’Or de la liberté, une bande de chasseurs horriblement sadique qui s’en prennent aux membres de la communauté des hybrides. Ils unissent leurs forces et leurs informations afin de les débusquer et de secourir les personnes ayant été enlevés.

Un lien semble lier Jonas au jeune hybride, un lien qu’ils ne comprennent pas… Jonas et Gabin arriveront-ils à faire équipe ? Et Jonas, réussira-t-il à contenir son cadet ?



Une plume 100% québécoise, avec ses jurons, ses expressions, ses mots… Au début, j’ai eu un peu de mal, (je l’avoue, j’ai cherché quelques fois la signification de certains mots, il manque un lexique pour moi.) mais, après le deuxième chapitre je navigué en eau fluide et je me suis délecté de ce langage différent du notre, mais de pas-grand-chose, de ce jargon cru et sarcastique… Cette plume est rafraîchissante de par sa rareté (pour moi, c’est mon premier roman québécois), et bourré d’humour, j’ai gloussé et franchement éclaté de rire par moment. Le personnage de Jonas… Ah ! Lui est son esprit mal placé, ses réflexions…. Mais en fait, ils sont tous à se tordre.

Un premier tome qui se lance doucement, qui nous présente les personnages et leur univers. Une intrigue, que je dirai survolée… Mais qui s’approfondit vers la fin, avec un prologue qui nous donne envie de lire la suite. Que j’attends d’ailleurs avec impatience. ;-)

Ah… En parlant de fin… Je sais que vous avez ou allez remarquer que le « prologue » est en fin de livre… Eh ben, c’est normal, car au Canada, les prologues ou épilogues sont l’inverse des prologues et épilogues de chez nous. Si, si, j’ai eu confirmation après une discussion avec l’auteure… C’est une chose que j’ignorai et l’autrice devrait tourner son deuxième tome à la sauce française, ce qui est très gentil de sa part.

J’ai donc passé un bon moment de lecture, joyeux et sans prise de tête. Maintenant, c’est à vous de vous en faire votre propre opinion.

Ma note 3.5/5

Els.