Si les auteures se sont "partagé" chacune son personnage (entre Bennett et Xander), je dirais que Sloane Kennedy a pris Xander et Lucy Lennox a pris Bennett.
Les plumes des auteures séparées, sont jolies et sensuelles, surtout celle de Sloane Kennedy que j'aime beaucoup et que je connais beaucoup mieux.
Les deux plumes ensemble, font que ce livre est joli et sympathique à lire mais en font également un livre trop à la Harlequin.
Xander est un perso que j'ai aimé et trouvé mignon même quand il grogne.
Il est touchant.
J'ai aimé les souvenirs de leurs « aventures » à Bennett et lui lorsqu'ils étaient enfants et surtout leur amitié qui avait l'air vraiment belle.
Bennett est aussi un perso mignon, mais mon Dieu ! qu'est-ce qu'il chiale !!!
Il a des réactions parfois trop, et trop "féminines" et pas dans le bon sens croyez-moi, et surtout il pleure et il pleure.
Oui, dans ce livre entre l'un et l'autre, ils ont intérêt à beaucoup boire vu comment ils se vident par les larmes.
Ensuite, il y a Lucky, un gamin très mignon et vraiment agréable, mais du coup je me demande... Si les auteures voulaient un gamin auprès de qui on réagit comme s'il avait
10-12 ans, pourquoi dans ce cas, lui avoir donné 16 ans dans l'histoire ?!!
A un moment, on parle même de lui comme "un petit garçon" et sinon tout le temps c'est "l'enfant", jamais "l'adolescent".
Oui oui, cherchez l'erreur...
Sinon, j'ai bien aimé l'histoire, malgré le fait que j'ai levé les yeux au ciel et soufflé quelques fois (j'aime pas les chialeurs à ce point, que voulez-vous
), j'ai bien aimé les personnages dans leur totalité (sauf le père de Bennett bien sûr, voyons !) et surtout Aiden qui est franchement le personnage qui a vraiment les yeux devant leurs trous car avec lui c'est,
"tu as un problème, parles-en !" Lui, il fait pas "sa fille" !
J'espère sincèrement que les auteures ne vont pas changer son caractère et en faire une "Bennett", dans le tome 2.
Je lirais le tome 2 justement, car ce sera donc avec Aiden et que cela me fera, mine de rien, quand même plaisir de tous les retrouver. Même la chialeuse !
qui maintenant ne chialera que de bonheur, bien sûr